Nom : Potter
Prénom : Harry
Etablissement : Ecole de Poudlard
Sujet 1 : Le PSG est-il magique ?
Sujet 2 : Les champions de Quidditch à travers les âges.
Sujet 1 : Le PSG est-il magique ?
Afin de vérifier l'affirmation des supporters du Paris Saint Germain selon laquelle «Paris est Magique!», il convient d'examiner le club de la capitale française sous différents aspects : ses origines , ses dirigeants, ses supporters, son entraîneur mythique, son joueur emblématique et enfin son match historique.
I - Les origines
A- L'incantation
Les premiers sorciers à s'être penchés sur le berceau du PSG en 1970 l'ont fait dans le but d'offrir à Paris un club de football de haut niveau digne de ce nom alors que toutes les grandes capitales européennes comptent elles au minimum deux représentants. Pour arriver à leurs fins, ils employèrent une incantation très puissante permettant la fusion du club du Stade Saint Germain avec celui du Paris Football Club. En souvenir de cette cérémonie magique le blason du club est aujourd'hui composé d'une Tour Eiffel qui enjambe une fleur de lys au dessus d'un berceau. La version de cette histoire destinée aux moldus est que ces deux symboles représentent en fait la ville du dauphin, lieu de naissance du futur Roi-Soleil Louis XIV. Le pouvoir de l'enchantement est tel qu'il permet, dès sa première saison, au PSG FC nouvellement créé de terminer champion de France de 2ème division et de rejoindre dans la foulée l'élite du football français.
B- La scission
En 1972, le conseil de Paris de l'époque conditionne sa subvention à plusieurs éléments dont le fait que le club prenne définitivement le nom de Paris FC. Cette exigence inacceptable pour les «banlieusards» de Saint-Germain en Laye (ville où se trouve aujourd'hui le centre d'entraînement et le centre de formation) provoque donc une scission entre le Paris FC qui reste en D1 et la section amateur du PSG FC qui, elle, est rétrogradée en division 3. Malgré ce coup dur, en juin 1974, après deux promotions successives le PSG FC retrouve la 1ère division et croise le PFC qui lui retombe en D2. Le PSG est depuis cette date le seul club français à s'être maintenu de manière continue à ce niveau. Preuve s'il en est besoin que la formule magique utilisée lors de sa création le protège toujours efficacement.
II – Les dirigeants
A- L'ère Hechter
La présidence de Daniel Hechter de 1973 à 1978 fut surtout marquée par la création par ce dernier du fameux maillot magique du club (bleu avec une large bande rouge au milieu) dont les supporters parisiens, très attachés aux symboles, ont obtenu le retour la saison dernière.
B- L'ère Borelli
L'aventure Hechter a pris fin suite au scandale de la double billetterie du Parc des Princes. Vient alors l'ère du charismatique Président Borelli qui de 1978 à 1991 offre au PSG ses premiers trophées majeurs : 2 coupes de France (1982, 1983) et un titre de champion de France en 1986 avec des joueurs comme Fernandez, Susic, Rocheteau, Bats dirigés par un jeune entraîneur débutant du nom de Gérard Houllier. C'est à cette époque que la magie du maillot du PSG commence réellement à se manifester de manière évidente. Sinon, comment expliquer l'échec retentissant de Jean-Luc Largardère avec le Matra Racing lors de sa tentative d'implantation d'un deuxième club de football professionnel à Paris entre 1987 et 1989 ?
C – L'ère Canal+
Mais c'est à partir de 1991 que la magie va réellement pouvoir s'exprimer pleinement au sein du club de la capitale. Cette année là, Canal+ prend les commandes du PSG et s'offre des joueurs internationaux très talentueux : Bernard Lama, Alain Roche, Ricardo, Valdo, David Ginola, George Weah, Rai, et Youri Djorkaeff. Cet effort financier de Canal+ est destiné à proposer à l'OM un adversaire à sa hauteur pour entretenir le suspens du spectacle préféré de ses abonnés (l'un de ses deux piliers avec les films pour adulte diffusés le 1er samedi du mois...). En 1994, le club passé sous la coupe d'Arthur George décroche son deuxième titre de champion de France. L'année précédente le PSG aurait même pu bénéficier d'un autre titre suite au déclassement de l'OM après la célèbre affaire « VA-OM » (cf OM Files, l'enquête marseillaise). La Ligue attribua légalement ce titre à Paris mais Canal+ le refusa, menaçant même de se retirer totalement du football si ce titre était attribué au PSG. En effet Canal ne voulait pas voir finir à la poubelle l'ensemble des décodeurs des nombreux sympathisants de l'OM à travers la France. La chaîne alla même jusqu'à refuser que le PSG dispute la Ligue des champions après l'exclusion de l'OM des compétitions européennes. Mais c'est surtout en Coupe que la magie du PSG version Canal+ opère le plus souvent. Au bilan, pas moins de 5 Coupes de France (1993, 1995, 1998, 2004 et 2006), 2 Coupes de la Ligue (1995 et 1998) et cerise sur le gâteau une Coupe d'Europe des Vainqueurs de Coupes en 1996 sous la direction de Luis Fernandez.
En 1998, le septennat magique de Michel Denisot s'achève. L'influent Charles Biétry prend le relais mais est contraint de démissionner après seulement six mois passé à la tête du club. Il laisse derrière lui un club exsangue car lourdement endetté suite à une politique de recrutement pour le moins hasardeuse. Son successeur Laurent Perpère n'aura rien à lui envier avec le magistral loupé du retour de Nicolas Anelka, vendu 700 000€ à Arsenal FC et racheté plus de 33,2M€ au Real Madrid pour des résultats bien loin de ce qu'on peut appeler un retour sur investissement (39 matches, 10 buts).
En 2002, le retour de Luis Fernandez en tant qu'entraîneur ne modifie pas vraiment les choses au niveau des résultats sportifs malgré la présence de joueurs talentueux dont notamment le magicien Ronaldinho. Pour tenter de résoudre le problème de la dette abyssale, Canal+ fait alors appel à Francis Graille et Vahid Halilhodzic. Malgré une réduction drastique des dépenses de près de 40%, le PSG signe une belle saison 2003-2004 avec une Coupe de France et une place de vice-champion en Ligue 1 qui lui ouvre les portes de la Ligue des Champions. Portes que le PSG va se prendre lourdement sur les doigts lors de la saison suivante. En pleine crise sportive et en guerre ouverte avec ses supporters, le PSG se débarrasse alors de Coach Vahid puis de son «ex-ami» Francis Graille dont le plan de reprise du club n'a pas réussi à séduire les dirigeants de Canal+. Pierre Blayau est alors nommé pour trouver un acheteur susceptible d'être intéressé par le club. En avril 2006, l'actionnaire principal annonce la vente du PSG à un fonds d'investissement américain (Colony Capital) associé à un fonds d'investissement français (Butler) et à une banque américaine (Morgan Stanley).
III - Les supporters
A- Les « People »
Le pouvoir magique du PSG est entretenu par son exposition médiatique exceptionnelle. Cette surement à cause de cette pression incessante que de nombreux joueurs talentueux perdent comme par enchantement leurs moyens en signant au Paris Saint Germain et les retrouvent tout aussi mystérieusement en quittant le club. L'intérêt des médias pour le PSG est tel qu'il est soutenu par toute une pléiade de personnalités du spectacle, des médias, du sport et de la politique qui honore régulièrement de sa présence la « corbeille », le nec plus ultra de la tribune présidentielle du Parc des Princes. Parmi les célébrités affichant de manière ostensible leur attachement au PSG, il y a : Nicolas Sarkozy, Olivier Besancenot, Kool Shen, Enrico Macias, Roselyne Bachelot, Philippe Lucas, Christophe Dominici, Fabien Galthié, Jamel Debbouze, Gad Elmaleh, Patrick Bruel, Patrick Chesnais, Dominique Farrugia, Adamo, Ramzy Bédia, Jean-Paul Belmondo, Paul Belmondo, François Berléand, Julien Clerc, Gérard Darmon, Jean-Luc Delarue, Loránt Deutsch, Mouss Diouf, Ladji Doucouré, Guillaume Durand, André Dussollier, Fabrice, Richard Gasquet, Stéphane Guillon, Hubert Henno, Francis Huster, Jean-Luc Lemoine, Michaël Llodra, Nagui, Fabien Onteniente, Tony Parker, Cédric Pioline, Frédéric de Saint-Sernin, Jean Tiberi, Dominique de Villepin, Michaël Youn, Roschdy Zem, entre autres...
Henri Salvador, lui, dispose de quatre places à vie au Parc des Princes suite à une offre d'abonnement à vie moyennant 10.000 francs la place lancée sous la présidence Hechter. Mais la palme du supporter VIP revient sans aucun doute à Francis Cabrel qui n'a pas hésité à annuler au dernier moment un concert au Zénith de Paris pour assister au match PSG-Barcelone le 15 mars 1995.
B- Les ultras
La preuve de la présence puissante de la magie noire de Voldemort dans ce club est symbolisée par les problèmes récurrents qu'elle a avec la frange la plus violente de ses supporters. Le tristement célèbre Kop de Boulogne (Kop Of Boulogne dit KOB) est né en 1978 suite à la création d'une carte de «jeune supporter» bon marché donnant accès à cette partie du Parc des Princes alors très largement ouverte aux supporters adverses. Ce groupe de supporter se réclame dès sa création du modèle britannique dont les mots d'ordre punk de l'époque sont exubérance, anarchie et violence … A partir de 1982, les punks sont en partie remplacés par les skinheads (souvent les mêmes, passés chez le coiffeur ...). Cette tribune a été témoin de nombreux débordements racistes et d'incidents violents parfois même entre ses propres membres avec d'un côté les tenants de l'école britannique et de l'autre les adeptes de l'école italienne. En 1991, la chaîne cryptée qui veut mettre fin à la violence de cette tribune ouvre la tribune «Auteuil» aux ultras à l'italienne. Depuis 2005 de nombreux affrontements violents ont opposés les Tigris d'Auteuil (majoritairement issus des banlieues parisiennes) aux «Indépendants» de Boulogne (nationalistes d'extrême droite). La violence gratuite et la bêtise haineuse de ces pseudo supporters a fini par aboutir à la mort tragique d'un des leurs après le match de Coupe de l'UEFA PSG-Tel Aviv le 23 novembre 2006. En tentant de s'en prendre à un supporter du club israélien et au policier noir qui tentait de le protéger d'une foule agressive vociférant des injures racistes et antisémites un habitué de la tribune Boulogne trouva la mort et un autre fut blessé d'une balle tirée par le policier (en état de légitime défense selon la justice).
IV – L'entraîneur mythique
A- La grandeur
C'est en 1995 que Luis Fernandez, ancien champion de France en tant que joueur avec le PSG en 1986, effectue son retour au Parc des Princes cette fois en tant qu' entraîneur. Sa première saison est une véritable réussite. Il remporte la Coupe de France, termine 3ème du championnat et effectue une formidable épopée en Ligue des champions (notamment contre le Barça de Johan Cruyff) conclue par une élimination face au Milan AC en demi-finale. En 1996, Luis remporte la Coupe des vainqueurs de Coupe contre le Rapid de Vienne et devient par la même occasion le premier entraîneur français victorieux d'une coupe d'Europe avec un club français.
B- La décadence
Quatre ans plus tard, après un intermède basque à l'Athletic Bilbao, Fernandez fait son grand retour à Paris. Durant deux saisons et demi, et malgré des joueurs de premier plan comme Okocha, Anelka ou encore Ronaldinho, celui qui était attendu par le Parc des Princes comme le messie n'obtiendra pas les résultats à la hauteur de son précédent passage. Comme disait Albus Dumbledore : «la formule magique efficace un jour n'est pas forcément celle qui le sera le lendemain...».
IV - Le joueur emblématique
A – Le jour
Même si le brésilien Raimundo Souza Vieira de Oliveira (dit Raí) reste dans le coeur des supporters parisiens comme un joueur et un capitaine au talent exceptionnel, c'est son compatriote Ronaldinho qui reste le joueur le plus magique ayant un jour porté le maillot du PSG. Sa rapidité, son inventivité et sa technique exceptionnelle lui permettaient d'inventer un nouveau geste à chaque match et de marquer des buts fabuleux que ce soit sur coups de pieds arrêtés ou lors de chevauchées fantastiques à travers les défenses adverses. Champion du monde 2002 avec le Brésil et Ballon d'or 2005, il est aujourd'hui considéré comme le plus grands dribbleur de tous les temps. En 2004, il quitta le PSG pour le FC Barcelone pour un montant de 30 millions d'Euros.
B- La nuit
Néanmoins comme beaucoup d'autres joueurs de talent avant lui Ronaldihno s'est un peu brûlé les crampons en profitant plus que de raison des nombreuses possibilités de distractions nocturnes de la ville lumière. Ces nombreux écarts de conduite ont affecté en grande partie la régularité de ses performances et l'ont sans doute empêché d'enrichir de quelques lignes supplémentaires le palmarès du club. Luiz Fernandez a même été obligé de le laisser à plusieurs reprises sur le banc de touche pour tenter de le faire résister aux chants envoutants des sirènes des boîtes de nuit parisiennes.
V - Le match historique
A - Le temps règlementaire
Le 18 mars 1993, le PSG joue en quart de finale retour de la Coupe de l'U.E.F.A. contre le Real Madrid après avoir perdu le match aller 3 buts à 1 à Santiago Bernabeu. Les titulaires parisiens sont ce soir là : Lama, Ricardo, Le Guen, Sassus, Kombouaré, Guerin, Colleter, Valdo, Ginola, Whea, Simba. Dès la 33ème minute, George Weah reprend victorieusement de la tête un corner de Valdo. 1-0. Le match est lancé. Le Parc des princes est en ébullition. Pendant tout le match les parisiens poussent mais ne trouvent pas la faille. Jusqu'à la 81ème minute. David Ginola, qui sera surnommé "El Magnifico" par la presse ibérique à la fin du match, double la mise concluant ainsi une action rondement menée par Valdo, Weah et Bravo. Sa frappe ne laisse aucune chance à Buyo le gardien madrilène. (2-0). Il reste quelques minutes aux hommes de la capitale pour inscire ce 3ème but synonyme de qualification. Ce sera chose faite à la 89ème minute lorsque Valdo effectue une superbe feinte de frappe qui laisse sur place un défenseur madrilène et ajuste Buyo. (3-0).
B- Le temps additionnel
A la 92ème minute, coup de théâtre. Alors qu'on pensait la qualification acquise, que le Parc célébrait la qualification, le Real réduit la marque par Ivan Zamorano sur un coup franc excentré. La qualification est remise en cause par ce but qui permet aux espagnols d'accrocher la prolongation. La désillusion des parisiens d'avoir encaissé ce but assassin du chilien Zamorano dans les arrêts de jeu est énorme mais tout n'est pas perdu... A la 96ème minute, Monsieur Puhl l'arbitre du match qui ne semble toujours pas vouloir siffler la fin du match accorde au PSG un coup franc à 25 mètres des buts du Real. C'est le coup-franc de la dernière chance avant les prolongations. Le brésilien Valdo trouve la tête d'Antoine Kombouaré qui trompe le gardien espagnol d'un coup de boule exceptionnel. Le PSG se qualifie pour les demi-finales après une fin de match complètement folle et magique entrée depuis dans la légende du club et du football français.
Conclusion
Au regard de tous les éléments présentés ci-dessus on ne peut répondre que par l'affirmative à la question de savoir si Paris est magique ou non. Mais, si la magie blanche l'a longtemps emporté sur la magie noire, depuis dix ans, c'est l'influence des adeptes de Voldemort qui tend à prendre le dessus. En témoigne, l'inconstance des résultats, les problèmes récurrents de violence des supporters et les affaires judiciaires en cours concernant des fraudes fiscales et sociales commises par le club lors de transferts de joueurs entre 1998 et 2003. Alain Cayzac, le nouveau président du PSG, actionnaire historique et membre du bureau du club depuis la fin des années 1980 a pour mission de résoudre tous ces problèmes. Pour atteindre cet objectif plutôt ambitieux, il a voulu dès le départ s'appuyer sur le passé glorieux du club. C'est pourquoi, un de ses premiers gestes en tant que président fut de nommer Raí ambassadeur du PSG en Amérique Latine, démontrant ainsi aux supporters son attachement et son respect pour l'histoire du club. Début 2007, c'est encore vers un «historique» de la grande époque en la personne de Paul Le Guen qu'il s'est tourné pour réussir à sauver le PSG d'une relégation annoncée en Ligue 2. Au niveau du recrutement d'intersaison, le PSG n'a pas, contrairement à son habitude, recruté de grands noms mais plutôt investi sur le long terme en faisant signer de jeunes joueurs prometteurs comme Grégory Bourillon (Rennes), Zoumana Camara (Saint-Etienne), Didier Digard (Le Havre) et en incorporant même plusieurs joueurs provenant de son propre centre de formation dont Clément Chantôme, David Ngog et Granddi Ngoyi. Pour l'instant, cette nouvelle politique sportive tournée vers la jeunesse au détriment de stars vieillissantes (Yepes, Gallardo, Pauleta) n'évite pas au PSG un nouveau début de saison poussif. Néanmoins, on peut légitimement espérer, compte tenu du niveau de jeu actuel des parisiens, que ce nouveau Paris sur l'avenir sera bientôt gagnant et qu'il permettra au PSG de retrouver sous peu toute la puissance de sa magie blanche d'antan.
Remise du «Marcel d'or» au PSG
PARIS SG !!!
«Paris est MAGIQUE !!!»
16 commentaires:
Excellent !
(Mais si le PSG est magique, il faudrait peut-être changer celui qui tient la baguette...)
Très bonne dissertation de l’élève Potter qui sera prié la prochaine fois de NE PAS MENTIONNER LE NOM DE CELUI QUI NE DOIT PAS ETRE NOMME ! D’autre part, autant votre travail sur la première question semble approfondi et étayé d’exemples historiques, autant le corps professoral aurait souhaité que vous nommiez les différents sorts et enchantements (ou malédictions) qui ont affecté en bien ou en mal le club de la capitale moldue française. Vous avez omis, par exemple de nommer le charme du nascitus benedictus incantatem, l’ "incantation très puissante permettant la fusion du club du Stade Saint Germain avec celui du Paris Football Club". D’autre part, etes vous sur que le declin du PSG est du a un sort maléfique d’un partisan de VOUS SAVEZ QUI ? Vous n’avez pas exploré la piste d’un sort jeté par un mauvais plaisantin. Les déboires de ce club me font penser à un sort nommé "Acharnatum Sortis Boulam Gommus", celui la même qui a été utilisé en début d’année contre un autre club de L1, envoyant bon nombre de ses elements cadres a l’infirmerie (et malheuresement pour les joueurs moldus, ils ne connaissent pas les bienfaits de la potion "Poussos" et autres charmes dont vous futes par le passé, monsieur Potter, bénéficiaire). Je finirais cette correction en m’outrageant du fait que vous osez me rendre une copie sans avoir rédigé une seule ligne a propos de la deuxième question "Les champions de Quidditch à travers les âges." ! ? Cet oubli risque fort de vous couter quelques points que pourtant vous n’auriez eu aucun mal a glaner !
Bien marrant l’idée, tu as aussi oublié du rôle d’hagrid dans l’apparition de la "Taupe" parisienne à l’entrainement mais c’est très bon...
Qu'on m'explique ce que Ronaldinho a fait à Paris mis à part 3 bons matches en 2 saisons !!! Il n'a rien fait, un grand joueur se mesure au palmarès et non à deux trois coups de dribble tous les 15 matches...alors qu'on me parle de rai comme joueur emblématique du psg , oui, ok... mais Ronaldinho, laissez moi rire !
Très bon article, comme le précédent.
Dans ce cas-la, Marseille est plus puissant niveau pouvoir (baguette ligue des champions),le Real Madrid c’est Merlin l’enchanteur et le Barça le magicien d’oz. Comparé a ça, Paris c’est plutôt la fée clochette.
très bon article, j’ai pour habitude d’être contre les articles qui parlent de l’om, lyon ou le PSG car ils sont bcp trop nombreux mais j’ai bien aimé le tien, original dans la forme, bien illustré d’autant qu’on a la même référence footballistique je crois : je n’ai toujours pas revu de match aussi magnifique que ce psg-real (à part peut-être le bordeaux-milan de 96) et j’aime assez les articles "historiques" qui retracent la vie d’un club...
je dirais que Mme McGonogall te donne 14/20 et professeur Rogue te donne lui 03/20 ! lol...
Amusant article. Je suis tout à fait d’accord avec vous, le PSG est magique, ne serait-ce que parce qu’il est si détesté et décrié dans l’Hexagone. J’habite en Allemagne à Berlin, et je peux vous assurer que le Hertha BSC Berlin n’a pas un 10e de l’aura que le PSG possède en France ET en Europe (à une échelle moins élevée pour la dernière citée évidemment).
Paris, c’est avec Marseille, le gros match de la saison pour tous les clubs de Ligue 1 et beaucoup de grands clubs européens se réjouissent d’affronter le PSG en Coupe d’Europe (lorsqu’il parvient à se qualifier, j’en conviens) : le stade est plein, parce que Paris SG, c’est un nom plus médiatique que Toulouse FC ; de plus, ils sont sûrs de passer... - Petite pique envers le PSG (hihihi !).
bah bizarrement pour un supporter de l’OM je dois avouer que parmi les deux meilleures équipes françaises que j’ai vu jouer et n’ont rien gagné figuraient : l’om plus fort avec Mozer, Papin , Waddle qu’avec Voller, boksic, ... et PSG je dois avouer qu’ils jouaient trop bien avec Valdo, Weah, Ginola... mieux qu’avec loko, etc...
Comme quoi la voie est indiquée pour les lyonnais, cette année ils sont moins bons mais justement c’est p’tet là qu’ils vont gagner (ce que j’espère pas parce que leur président c’est la pire des pleureuses !)
Excellent article !!
Et c’est sur que le meilleur match de coupe d’europe des années 90 toutes équipes françaises confondues c’est bien ce fameux PSG/Real !! Avec le Bordeaux/Milan je te l’accorde befadube !!
Allez Paris, arrêtez d’être tragique et refaites-nous rêver, ça commence à faire long...
la question se pose mème pas.
PARIS EST MAGIIIIIIIIIIIIIIIIIIQUE !!!!!!!!!!!!!!!!!
rai valdo ginola weah leguen bravo djorkaeff kombouaré roche ricardo susic fernandez bats lama okocha ronaldinho landreau pauleta leonardo fournier ngotty guérin luccin dalmat anelka simone benarbia robert heinze pochetinno allez parisssssssssssssssss
NOTRE HISTOIRE DEVIENDRA LEGENDE !!!!!!!!!!!!!!!!!!
PARIS EST MAGIIIIIIIIIIIIIIIIIIQUE !!!!!!!!!!!!!!!!!
très très bon article....
Panam all starz tu as oublié dalheb.... C'est impardonnable !
PARIS EST MAGIQUE,
That’s all folks :)
Une autre évidence de la magie du PSG : v’la les clubs qu’on a tapé dans les fantastiques épopées européennes :
au hasard, dans le désordre, Naples, Bayern Munich, Real Madrid (2 fois, dont le mémorable 4-1 avc tète de kombouaré cité dans larticle), barcelone, le fameux 5-0 au steaua bucarest, galatassaray, un 7-2 à rosenborg, anderlecht, rapid vienne (pour la victoire européenne), liverpool, (humilié au parc 3-0), deportivo la corogne (de bebeto), toutes les équipes ’dures a jouer’ dans leur bonne époque en + (spartak, athènes, etc), fc porto (avec le geste magique de coridon mdr), etc etc etc j’dois en oublier plein Platoche il me les remémorera...
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